Le Faucon Rouge • (cycle de la Lune, 3)

ISBN : 978-2-36634-222-2 - auteurs : Edgar Rice Burroughs ; Eric Chaplain (traduction) - langue : français - format : 15x21 cm - nombre de pages : 146 - illustrations : en NB & COULEUR.

Paru initialement en feuilleton en 1925, The Red Hawk est le troisième et dernier tome du Cycle de la Lune qui paraît en livre en 1926. La première publication en français date de 1938, dans la revue PRNG.
En 2430, les Yanks, les Américains qui ont secoué le joug des Kalkars (descendants des envahisseurs venus de la Lune), ont adopté un mode de vie nomade, similaire à celui des Indiens. Le jeune Julian XX, Grand Chef sous le nom de Faucon Rouge, réunit tous les clans vivant dans le désert pour bouter à la mer les Kalkars qui tiennent encore un territoire à l’extrême ouest des anciens États-Unis. Faucon Rouge et ses frères y mènent une bataille décisive durant laquelle Julian XX est capturé. Conduit devant l’Or-tis, son ennemi héréditaire et multiséculaire, il refuse ses propositions de paix. Mais, au fil des nombreuses péripéties auxquelles il est confronté, ses fortes certitudes et sa haine des Or-tis — qui sont à l’origine de l’invasion de la Terre, quatre siècles auparavant —, sont mises à rude épreuve. Sa rencontre avec le jeune fils de l’Or-tis, destitué et assassiné par les Kalkars, puis le sauvetage de la sœur du même jeune Or-tis, la belle et intimidante Bethelda, vont précipiter les évènements et rendre possible une coalition des Yanks et des partisans américains des Or-tis pour enfin rejeter les Kalkars à la mer et retrouver, peut-être, la vie heureuse de leurs aïeux du XXe siècle...

Edgar Rice Burroughs, né à Chicago (1875-1950), est plus connu aujourd’hui comme le créateur des aventures de Tarzan. Pourtant les œuvres de science-fiction de ce grand précurseur dans le genre planet opera (Cycle de Mars, de Vénus, de la Lune, de Pellucidar) méritent amplement d’être redécouvertes. 

Dernier tome du cycle de la Lune, présenté ici avec les illustrations de l’édition de 1938 de la revue Robinson. Traduction d’Éric Chaplain.